KINOKS

ni un journal ni un blog

Accueil > Mots-clés > Navigation > Bertold Brecht

Bertold Brecht


  • Bertold Brecht : "A ceux qui viendront après nous"

    28 août 2007

    Un poème écrit lors de son exil durant la seconde guerre mondiale.

  • "Marche ou crève !" par Nathalie Ménigon

    2 août 2007
    Marche ou crève,
    C’est ma décision.
    Mais je marche en riant,
    Même s’ils me huent en criant.
    Sans dérision, que d’émotion !
    Et alors qu’ils crient,
    J’avance vers notre rêve :
    Liberté Résistante
    Au capital du néant.
    Marche ou crève,
    Aucun regret !
    Et avec plaisir,
    Je pétrie les mottes de terre
    En respirant la fraîcheur de l’air
    Et les fleurs magnifiques du repeuplement
    Hexagonal et continental.
    Car nous sommes tous Nomades,
    Peuples en mouvement
    D’un continent à l’autre.
    Pour que chacun(e) d’un sourire
    Se (La suite...)
  • Un tombeau pour l’oeil (Pédagogie straubienne)

    13 novembre 2006
    De Nicht Versöhnt à Moïse et Aaron, une idée maîtresse, entièrement contenue dans ce titre : « Non réconciliés ». La non-réconciliation, ce n’est ni l’union ni le divorce, ni le corps plein ni le parti pris de l’émiettement, du chaos (Nietzsche : « il faut émietter l’univers, perdre le respect du tout »), mais leur double possibilité. Straub et Huillet partent, au fond, d’un fait simple, irrécusable : il y a eu le nazisme. Le nazisme fait qu’aujourd’hui le peuple allemand n’est pas réconcilié avec (La suite...)
  • "Un ouvrier sympathique" par Roland Barthes

    27 septembre 2006
    Je crois que Barthes a très rarement écrit sur le cinéma. Il s’agit ici d’une critique d’un film que certains qualifiaient à l’époque de « gauche ». Brando décroche un premier Oscar de meilleur acteur en 1954.
    Barthes nous parle ici , à propros de ce film, de volonté de mystification grâce à l’identification au « bon » personnage et des caricatures des « mauvais », il nous renvoie à Brecht et à la nécessité de créer une distanciation du rôle… Bref, ce texte écrit entre 54 et 56 est de plus en plus d’actualité (La suite...)
  • Bertold Brecht

    5 février 2006

    Qui lutte, peut perdre ; qui ne lutte pas, a déjà perdu.

  • BRECHT : " Hollywood"

    9 janvier 2006
    Chaque matin, pour gagner mon pain
    Je vais à la foire aux mensonges
    Plein d’espérance
    Je me range aux côtés des vendeurs.

Suivre la vie du site RSS 2.0 | Espace privé | SPIP | squelette - conçu par jlg