VOIR ET AGIR

Voir et Agir présente ainsi son projet :

Notre projet : multiplier les projections-débats autour du documentaire,

La diffusion publique des films permet de partager des émotions cinématographiques, humaines et politiques.

Les documentaires en particulier, avec la diversité des regards portés sur le réel et la multiplicité des formes proposées, nous invitent à la découverte. Cependant voir ces films dans les festivals, ou à l’occasion d’une unique projection grâce à des programmateurs passionnés, ne peut suffire ; pas plus que les regarder dans son salon ou derrière un écran d’ordinateur, alors qu’ils peuvent susciter des discussions passionnées et passionnantes.

Les projections-débats se développent, grâce à un matériel de vidéo-projection de plus en plus léger et abordable, dans les quartiers, dans les associations, les collectifs altermondialistes… Cafés-philo, syndicats, comités d’entreprise, partis politiques, médiathèques, comités de lutte contre toutes les formes d’exclusion, fêtes militantes : en petit groupe devant un simple téléviseur ou plus nombreux devant un écran, la rencontre doit avoir lieu entre un film et son public, une rencontre qui ne soit pas à sens unique comme l’impose ordinairement la télévision.

en proposant des films vidéos à des tarifs abordables pour les associations,

VOIR&AGIR encourage le développement des projections-débats en proposant des films vidéos à des tarifs abordables pour les associations. Nous aidons les groupes intéressés à organiser la projection, à contacter le réalisateur, la réalisatrice, et des intervenants pour animer le débat autour du film. Nous participons à la mise en réseau de tous les acteurs de la rencontre : associations et collectifs, spectateurs et usagers, lieux de projection, réalisateurs et producteurs, mouvement social et acteurs culturels.

tout en respectant les auteurs, pour faire vivre la pluralité d’expression.

VOIR&AGIR agit pour qu’un équilibre entre le droit des utilisateurs d’accéder librement aux oeuvres et le nécessaire respect du droit d’auteur soit trouvé. Nous distinguons les associations qui financent les projections avec leurs ressources propres, et les projections pour lesquelles existent des financements complémentaires sous forme de subventions. Le souci de rénumérer l’oeuvre nous paraît devoir être au moins au même niveau que la nécessaire communication pour annoncer la projection.

En respectant les différents droits de diffusion, les organisateurs de projections publiques contribuent à faire vivre les producteurs indépendants de films sans lesquels il n’y aurait pas de pluralité d’expression.

Pour plus d’infos : http://www.voiretagir.com