C’était à Toulouse en février 1992. J’étais "ingé son" et je passais en même temps une maîtrise à l’Ecole Supérieure d’Audio-Visuel de la fac du Mirail.
Première semaine de février, Robert Kramer arrive à l’école pour encadrer un atelier sur le documentaire : faire un film avec nous à Toulouse.
A ce moment là, il semblait aimer observer le contour d’une ville, la séparation entre son en dedans et son en dehors, sa périphérie.
Nous partons en repérage dans une vieille Mercédes. Nous sommes cinq, Robert
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